Mon carnet de poésie


Mots métaphorique



Âme si curieuse !
Dans un corps si fragile !

Esprit immortel si pieux .
Crapule dans mes pensées, je le suis et ascète dans mes rêves pour qui me suit

Et même sur mon cercueil, je m'épanouie.

Quand mon âme exalte le Seigneur !
Mon esprit se réjouit
Mon corps sent la pudeur et le repis.

Pourtant je ne suis qu'un être humain plaine de désir et d'angoisse

Oh !!!
Je serais partant sans lui dire adieu !?

Sans lui pouvoir offrir  les douze lampes de mes cieux  ?!

Sans lui faire goûter   la manne de mes mots arrosée  par des anges ?!

Seigneur! 
Je vois ...je sais que  t'as une voix pour chaqu'un ..!!.

Je ne suis qu'un enfant qui joue !! Attiré par  une souriante fleur sur une voie  !
voilée , qui vous adore et qui m'adoucit.

Quelle joie  seigneur !!

Je suis perdu
Ivre de la joie et de la tristesse  de ce bas monde !

Je suis  reconnaissant aussi    pour être captivé par la beauté et la dualité de la vie ...

Un être hermaphrodite qu'il et elle est !!

Dois je sortir de mon moi sans une règle ni loi ?

Quand me mots se métamorphosent !!,chantent...pleurent ...dansent ..crient ..se mélangent pourtant avec la foi !!

Oui !!...Je serais partant avec joie ,parfumé de son nostalgie
Couvert de son amour inconditionnel

Je suis fragile mon Dieu !

La reine Bidane 
Elle a grandi libre, plaine de joie 
Douce comme miel 
Elle nageait entre vagues de sable 
Arôme du "liblah"
Chant du désert 
"El Badiya" sa demeure
Plainte de la solitude 
Couleur de son habitude
Une souriante Oasis qui drague le temps
Une "khaima" qui brille, palpite au rythme de son parfum
Danse de la caravane 
Une reine "Bidane"
Madre mía !! Quelle beauté !
Je suis perdu dans l'univers de son image 
De sa beauté
Entre bras du désert et mémoire d'nn boutiquier 
Je faisais me dix marches de pèlerinage a son Nom !
"Méqlaahé "...méqlaahé !
Elle vivait libre en harmonie avec le temps .
Une précieuse perle parue dans mon champ 
Un don du fleuve paru au bout de mes rêves
Le fruit de "Bat'ha" au lait de "chémaama"
L'esprit de la lune 
L'éclat des étoiles me caressent 
M'offrent une "Roumbayé", une "mélihfé "
Une fleur de la dune pousse entre les cordes de ma guitare 
Un bouquet de lettres
Une chanson 
Goût de sa langue fraiche
Ses jambes douces, musclées par le désir de l'unification 
L'odeur parfumée de son corps nu sans péché !!
 Vêtu par mes mots.
Crime de la pensée 
mes prières magiques au (couleur) de ses cheveux, noirci aussi par le "Ennilé" 
 La Bénédiction de Vénus 
Les sourires des anges 
Son être captivant, plaine de"Ibliss" Me rends Saint saint
Vocabulaire 
El bat'ha : Vallée du sable 
Chémaama : le Walo !
Méqlaahé : nom propre en Hassaaniyya qui désigne une forme superlative de nom "qaali ": aimé ,ou apprécié ou en arabe classique "ghaali : chère !
Donc la traduction du nom "méqlaahé" : la plus chère ,la plus appréciée , la plus aimée ...etc
Liblah : dattes fraîches consommés au moment du "guetna"
Roumbayé : robe 
Mlehfé : voile 
Ennilé : voile noir, aussi les femmes se marient en voile noir ! 
Ibliss : charme , désir !! ,en sachant que" Ibliss" en arabe classique c'est le démon Satan !


Les paupières de la lumière


Je cherche ma voie entre les vagues de l'obscurité au fond de ma nuit blanche

Une chandelle souriante maquillé par la flamme de mes lettres brutes, parfumée par l'encens de ma folie incurable

Je suis perdu entre les bras du désert, attiré aussi par sa beauté dévastatrice

Une fatale jupe décorée par le désir incontrôlable de l'atmosphère
.....
Il est trois heures du matin au palais de mes ancêtres, au littoral de l'ombre du sacré Baobab, je reçois mon animal totem, déguisé une femme androgyne

Je me détache de mon être subtil, halluciné par les lèvres bronzées de ma pauvre vie
Une vie libre sans limite ni soutien-gorge, nue de toute sorte du vocabulaire du péché

Je nage entre les paupières de la lumière avec mes ailes farouches brisés

J'ouvre mon troisième œil face à la grandeur de la lumière révélatrice du maître de l'univers

Les esprits en plaine cavale
les anges dispersés par la voix du tonnerre
des énergies invisibles désirant percer l'inconscience des élus du tarot

Il est toujours trois heures du matin
Le vent se met à médité, a soufflé

Il se déshabille devant les regards louches d’astraux aveugles, comme un enfant qui se prépare pour la cérémonie de circoncision

Je l'entends balbutier en suppliant les douze lunes démoniaques de lui donner plus de force maléfique pour semer le chaos à travers le monde !!

J'embrasse l'air ventilé par les ailes des anges multicolores et je me replie sur moi-même

Les esprits maléfiques me poursuit toujours avec des baguettes et des trompettes muettes

Je suis sous couvert de la lumière divine entourée par la bénédiction de mes anges gardiens

Je nage toujours et je continue de nager



La vierge de l'obscurité

Pourquoi veux-tu m'attacher dans les nœuds de ton charme dévastateur couver d'essence féministe envoûtante ? Pourquoi voudras-tu m'emprisonner par les vagues de tes caresses volcaniques au lit volant de nos secrets tourments ?

Tes mots ivres, aveugles, passionnées de la malédiction du plaisir, qué du plaisir !
Et pourtant,  je suis né libre et fou ! Allaité par des principes solides gravés dans mes pensées
Crémé par l'huile de l'honnêteté
Le respect et le courage !!

Vamos !!
Je médite jour après jour
Et je continue de méditer au nez et a la barbe de un badaud perdu son chemin,
Sous le soleil de Satan
Entre les jambes des esprits nymphomanes
Vétérans du cartier rouge d'Amsterdam !!
Les seins de l'obscurité exhibées! gonflés,sans charme Chuchotement d'un chauve-souris qui drague le berceau de la nuit
O mon Dieu !!
Les lèvres pales de ma pendule, pleurniche derrière le miroir sacré de mon autel
Sous la pluie de mes lettres
étoilées
Salées
Dictées par le rythme hallucinant de mon ventilo, Marié avec la dense de ma chère plume !

La mélodie muette de ailes de mes feuilles volantes! Veloutées
Dorlotées par la flamme de mes mots
Ah oui !
Je me range pour recevoir le don de la lune dans le parfum de
enveloppes fantaisie que les astres vagabondes m'ont offert à la vallée de la fontaine

Je reste chère amie !
Je reste pour, et avec celle que j'ai aimé
Je reste fidèle à celle que je danse avec l'amour
À celle que j'aime et je continue de chanter nuit et jour

J'ai brisé les chaines du (captivité)
À Dieu la vierge de l'obscurité !

Afrique

Mère patrie, soleil de ma vie

T'es le berceau et  pétale de mon avis

Tu m'as nourri depuis bas âge
de l'amour,
le pardon et le courage

Tu m'as protégée contre les orages
Sans se plaindre  paupières de ton ouvrage

Quand j'ai atteint l'âge de l'adolescence
Troublé par les esprits
Ivre de la délinquance

Tu m'as guéri, béni
Me couvert de l'abondance

Mère patrie lune de ma nuit
Tu es graine de bonheur, source de mon honneur

Tu m'as donnée le goût de l'espoir et  essence du victoire

Tu m'as offert un beau juchoir,
Un ciboire au fond de ma mémoire

Tes prières
Tes incantations
Ta foi
Ta douceur florissent  ta peau noire belle

L'odeur de ta sueur est parfumé par ta générosité, sincérité et clarté

L'ombre de ta voix sacrée
flotte entre mèches de tes cheveux courts
Tressés, décorés par la beauté de ton âme

Oh mère Afrique ,je t'aime et je t'aimerai



Femme Peul 

Dans les vastes plaines de la beauté africaine,
Émerge une femme, noble et souveraine.
Elle est la fierté d'un peuple millénaire,
Une perle rare, d'une grâce singulière.

Sa peau d'ébène reflète la lueur du soleil,
Ses yeux étincelants racontent mille merveilles.
Tel un océan profond, mystérieux et profond,
Ils captivent les âmes, ensorcellent les passions.

Ses cheveux noirs, tels des cascades de nuit,
S'enroulent avec douceur, sans le moindre bruit.
Ils racontent l'histoire de son peuple ancestral,
Un héritage précieux, un trésor sans égal.

Femme peul, symbole d'élégance et de grâce,
Ta démarche légère éveille tous les regards.
Comme une antilope, tu danses avec élégance,
Sur la terre rouge, tu rayonnes d'aisance.

Tes lèvres ourlées murmurent des mélodies,
Des chants envoûtants, venus des temps infinis.
Ils portent en eux les échos d'une culture vibrante,
Une tradition vivante, une histoire palpitante.

Femme peul, gardienne des traditions sacrées,
Tu incarne la force, la sagesse, l'amour révélé.
Tu es le pilier d'une famille unie et prospère,
Un roc inébranlable, une flamme éternelle.

Que les vents t'accompagnent, ô femme divine,
Sur les chemins de la vie, où ton aura brille.
Que ton peuple, émerveillé, te porte aux nues,
Femme peul, tu es une reine, une étoile émue.

Dans les annales du temps, ton nom résonnera,
Comme un symbole de grâce et de dignité.
Femme peul, inspiratrice de tant de poésie,
Ton essence illumine les cœurs à l'infini.

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